Joie et Victoire


Je ne suis pas seulement un homme ordinaire, une femme ordinaire :

je suis un fils, une fille du Dieu vivant.

Je ne suis pas simplement une personne :
je suis héritier de Dieu et cohéritier de Jésus-Christ.

Je ne suis pas simplement un ancien pécheur :
je suis une nouvelle création en Jésus, mon Seigneur.

Je fais partie d’un peuple élu, d’un sacerdoce royal, d’une nation sainte - je fais partie du peuple de Dieu.

Je ne suis plus dominé par la culpabilité, par la condamnation.


Je rejette le découragement, car il ne vient pas de Dieu.

Notre Dieu est un Dieu d’encouragement.
Il n’y a donc plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Christ Jésus : Satan est un menteur, et je n’écouterait pas ses accusations.

Mes pensées sont protégées par le casque du salut.
Le sang de Christ me purifie.
Aucune arme forgée contre moi ne pourra me nuire, et je confondrai toute langue qui s’élèvera en jugement contre moi.
La Parole de Dieu renouvelle mes pensées.
Je détruis des forteresses, je renverse les hauteurs qui s’élèvent contre la connaissance de Dieu, j’amène toute pensée captive à l’obéissance de Christ.


Je suis accepté dans le Bien-Aimé.

Si Dieu est pour moi, qui pourra être contre moi ?
Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans le monde.

Rien ne peut me séparer de l’amour de Christ.
Comme le Père aime Jésus, de même Jésus a de l’amour pour moi.

Je suis devenu justice de Dieu en Christ.
Je ne suis pas esclave du péché mais esclave de Dieu et esclave de sa justice.

Je persévère dans l’obéissance à la Parole, je connais la vérité, et la vérité m’a rendu libre.
Parce que c’est le Fils qui m’a affranchi, je suis vraiment libre.

Celui qui est né de Dieu demeure en Dieu et le malin ne peut pas l’atteindre.
J’ai été délivré du royaume des ténèbres, et je fais partie à présent du Royaume de Dieu.

Plus rien ne m’oblige à faire le jeu du péché : le péché ne domine plus sur moi.


Je refuse de croire les mensonges de l’ennemi.

Je refuse de me laisser intimider par lui.
C’est un menteur, c’est le père du mensonge.

Mais Satan est un vaincu.
Car c’est pour détruire les oeuvres du diable que le Fils de Dieu est venu dans le monde.

Le diable ne peut plus m’opprimer.
C’est sûr, l’oppression rend fou celui qui est sage, alors je suis fou de rage contre le diable.

Je triomphe de lui par le sang de l’Agneau et par la parole de mon témoignage, et je ne suis pas attaché à ma propre vie au point de craindre la mort.

Je me soumets à Dieu, je résiste au diable et il s’enfuit loin de moi.
Je ne suis exposé à aucune tentation surhumaine, car Dieu est fidèle et il ne permet pas que je sois tenté au-dessus de mes forces - avec la tentation, il donne aussi le moyen d’en sortir, si bien que je tiens ferme.


Je tiens ferme dans la liberté qui me vient de Christ, mon libérateur.

Là où est l’Esprit du Seigneur, il y a la liberté.
La loi de l’Esprit de vie qui est en Christ Jésus m’a libéré de la loi du péché et de la mort.

Christ me fait toujours triompher.
Je vais régner dans la vie, comme un roi, par le Christ Jésus.

Je suis fort, la Parole de Dieu demeure en moi, et j’ai vaincu le malin.
Je suis plus que vainqueur par Christ qui m’a aimé.

Je suis de ceux qui triomphent, je suis invincible.
Je peux tout faire par Christ qui me fortifie.

Grâces soient rendues à Dieu qui m’accorde la victoire en Christ Jésus, mon Seigneur !


Je rejette l'esprit d'abattement, et je me revêts du manteau de la louange, afin de donner gloire à Dieu.

En tout temps, je bénirai le Seigneur.

Sa louange sera toujours dans ma bouche.

Ma force est dans la joie de Dieu.

Jésus a pris sur lui mes peines, mes chagrins.


Je me réjouis toujours dans le Seigneur.

Je fais tout sans me plaindre, sans murmurer.

J'ai découvert les Paroles du Seigneur - je les ai mangées, elles ont fait les délices de mon coeur.

Même dans l'épreuve, j'offrirai au Seigneur un sacrifice joyeux.

Dans ma bouche, il y a les hautes louanges de Dieu, et dans ma main, l'épée à deux tranchants.


Sans cesse le Seigneur est devant moi.

Parce qu'il est à ma droite, je ne chancellerai pas.

C'est pourquoi mon coeur est dans la joie et mon âme tressaille d'allégresse.

Mon corps, aussi, repose en sécurité.

Tu me montres le sentier de la vie.

En ta présence se trouve la plénitude de la joie.

Je me réjouirai dans le Dieu de mon salut.


Je m'attends au Seigneur et il renouvelle mes forces.

Il m'élève sur des ailes semblables à celles de l'aigle - je courrai et ne me lasserai pas, je marcherai et je ne serai pas fatigué.

Source
            

Articles les plus consultés (30 derniers jours)

La Victoire

L'onction à Béthanie (Jean 12:1-8)

Miracles