Nous trouvons dans les Écritures ces affirmations : La joie de l'Éternel est ma force Le calme et la confiance seront votre force Fais de l'Éternel tes délices, et Il te donnera ce que ton coeur désire Y croyons-nous vraiment, ou est-ce que ces affirmations ne sont que des "décors" pour nous ? En fait, notre ressenti face à ces affirmations n'a aucune importance : ce qu'il faut, c'est la volonté d'y croire de toutes nos forces : Avec notre volonté, nous pouvons court-circuiter nos sentiments afin de faire face à la réalité de Dieu Avec notre volonté, nous pouvons parcourir les parties de notre corps qui ont des problèmes et les remettre à Dieu pour leur guérison Avec notre volonté, nous pouvons chasser les pensées parasites afin de nous concentrer sur les solutions de l'Esprit saint plutôt que sur les problèmes Avec notre volonté, nous pouvons accepter les épreuves comme un moyen de nous rendre plus forts en Christ Au final, nous pouvons louer...
Imaginons une femme qui aurait travaillé comme domestique dans une maison, aurait été payée toutes les semaines pour son travail, sous la loi de son maître auquel elle aurait toujours cherché à plaire ; tout son travail n'aurait été que le fruit du devoir. A la fin, supposons que son maitre lui offre son amour et lui propose de l'élever du rang de servante à celui d'épouse, pour partager son sort. Dès cet instant, l'esprit même dans lequel elle servait n'est plus le même. Elle pourra continuer à faire les mêmes choses qu'auparavant, mais tout sera accompli avec des motivations différentes. Le vieux sens du devoir fait place à l'amour. Le terme froid de "maître" est remplacé par le terme empreint d'amour de "mari". "En ce jour-là... tu m'appelleras : mon mari ! et tu ne m'appelleras plus : mon Baal (mon maître) !" Imaginez maintenant qu'au bout d'un certain temps, cette épouse commence à penser de nouveau à so...
L'amour suppose l'humilité, qui accepte l'épreuve comme un test destiné à nous montrer où nous en sommes dans notre relation avec Dieu (*). Une fois au fait sur notre état spirituel, nous pouvons mieux comprendre les autres et les pardonner - puis louer le Seigneur pour tout ce qu'Il fait pour nous. Cette humilité qui amène à voir la réalité telle qu'elle est nous dévoile notre petitesse, tout en sachant que "L'Eternel garde les petits" (Ps 116:6). Un texte de "Manne du matin" nous montre que "David, après ses victoires, aurait pu se considérer comme un chef, un homme qui avait conquis son rang par sa valeur et son courage. Mais il était petit à ses yeux, petit devant Dieu. Du commencement à la fin de sa vie, dans la souffrance comme dans la gloire, il n'a jamais oublié son humble origine, ses infirmités personnelles - il a toujours su qu'il était l'objet d'une grâce souveraine et imméritée. Avant que Paul l'ait écri...