3 histoires à méditer

Didier Millotte
 
On raconte qu’au cours de ses campagnes pour la conquête du monde, Cyrus, le roi des Perses, avait capturé un roi, sa femme et ses enfants. Lorsqu'on les lui présenta, Cyrus demanda au roi :
– Que donnes-tu si je te rends la liberté ?
– La moitié de mon royaume.
– Et si je rends aussi la liberté à tes enfants ?
– Alors tu peux prendre tout mon domaine.
– Et que me donnes-tu pour la liberté de ta femme ?
– Moi-même !
Cette réponse plut à Cyrus qui rendit la liberté à toute la famille sans demander de rançon. Dans le voyage du retour, le roi demanda à sa femme si elle avait remarqué combien Cyrus était un bel homme, noble et généreux. Elle lui répondit : « Je n’ai vu que celui qui était prêt à se donner lui-même en rançon pour ma liberté. »
Quel regard portons-nous sur Celui qui, non seulement était prêt à donner sa vie pour notre liberté, mais qui l’a effectivement sacrifiée ? Jésus-Christ est digne de tout notre amour.

Jésus-Christ, notre grand Dieu et Sauveur s’est livré lui-même en rançon pour nous, afin de nous délivrer de l’injustice sous toutes ses formes (Tite 2.14).

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Au cours d’un naufrage en pleine mer, un seul survivant échoua sur une île déserte. Il s’ingénia à construire une hutte ; il y abrita tout ce qu’il avait pu sauver. Comme il était chrétien, il suppliait Dieu quotidiennement de le sauver. Il scrutait constamment l’horizon pour signaler sa présence aux navires de passage.
Un jour, au retour de la chasse, il fut saisi d’horreur : sa hutte était en flammes avec tout ce qu’il possédait. Pouvez-vous réaliser son désespoir ?
Or, le lendemain, surprise ! Un navire s’approchait de l’île. Arrivé à portée de voix, le capitaine, s’adressant au naufragé, lui dit : « Hier, nous avons aperçu le feu de votre signal. »
Imaginez la joie du pauvre naufragé ! Le désastre qu’il venait de vivre était en réalité une bénédiction pour lui. Ce que nous pouvons percevoir sur le moment comme un malheur peut cacher la main de Dieu transformant la douleur en grande joie. Nous nous glorifions même dans nos afflictions, sachant que la tribulation produit la persévérance, la fidélité éprouvée et l’espérance (d’après Romains 5.3-4).

Sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie, mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite… elle produit un fruit paisible de justice (Hébreux 12.11).

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Ce fait divers s’est passé dans une carrière où les ouvriers dynamitaient la roche pour en extraire de magnifiques blocs. La charge d’explosif venait d’être introduite dans le trou foré et déjà l’étincelle progressait le long de la mèche. Bien sûr, les carriers se hâtaient de se mettre à l’abri, quand, ô surprise, ils aperçurent un petit enfant tout près de l’endroit dangereux. Cris, appels, rien ne semblait détourner le gamin. Ces voix l’effrayaient plutôt. Mais voilà que survient la mère du petit. Elle réalisa promptement la situation, étendit ses bras tout en appelant son enfant. À l’ouïe de la voix maternelle, le petit courut vers sa mère qui tendait ses bras pour l’accueillir. Il était sauvé… à temps. La charge explosive fit voler la roche en éclats, alors que la mère emmenait son enfant à la maison.
C’est ainsi que le Père céleste appelle le pécheur perdu en danger de mort éternelle. Le Seigneur étend ainsi ses bras d’amour vers son enfant bien-aimé. Ne résistez pas à son appel.
Puisque Dieu nous a aimés, il nous a destinés d’avance à être ses enfants qu’il voudrait adopter par Jésus-Christ. Voilà ce que, dans sa bonté, il a voulu pour nous (Éphésiens 1.5).

Une mère oublierait-elle l’enfant qu’elle nourrit ? (Ésaïe 49.15).

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