Sept vies
Heureux celui dont la transgression est enlevée, dont le péché est pardonné !
Psaume 32.1
Le film « Sept vies » met en scène un homme au volant de sa voiture avec son téléphone portable. Un virage… un véhicule arrive en face et l’accident fait en tout 7 victimes. Lui s’en sort sans blessures physiques, mais il doit maintenant affronter cette terrible réalité : 7 vies sont parties par sa faute.
Il décide alors d’aider 7 personnes à mieux vivre : don de sa maison, don d’organes, et il finit même par offrir son cœur pour une greffe.
Dans ce film émouvant, nous voyons un homme courageux déterminé à essayer de réparer. Il se trouve dans une logique de compensation. Le bien qu’il a fait à certaines personnes a-t-il apaisé sa conscience ? L’histoire ne le dit pas.
Le texte d’aujourd’hui mentionne un bonheur retrouvé suite au pardon. La suite du psaume, au verset 5, fournit davantage d’explications : J’ai dit : je confesserai mes transgressions à l’Éternel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché. La logique ici est bien différente : on ne cherche plus à compenser, ni à se racheter, mais à reconnaître ses fautes et recevoir le pardon de Dieu. Nous ne sommes pas habitués à un tel raisonnement. Comme l’explique l’auteur (*) d’un livre sur la grâce, cette faveur offerte sans qu’on la mérite : « Le monde ne comprend pas la grâce. Les gens en font rarement l’expérience. »
(*) Richard Blackaby, La grâce : reçue pour être donnée
La bande annonce du film
Source
Psaume 32.1
Il décide alors d’aider 7 personnes à mieux vivre : don de sa maison, don d’organes, et il finit même par offrir son cœur pour une greffe.
Dans ce film émouvant, nous voyons un homme courageux déterminé à essayer de réparer. Il se trouve dans une logique de compensation. Le bien qu’il a fait à certaines personnes a-t-il apaisé sa conscience ? L’histoire ne le dit pas.
Le texte d’aujourd’hui mentionne un bonheur retrouvé suite au pardon. La suite du psaume, au verset 5, fournit davantage d’explications : J’ai dit : je confesserai mes transgressions à l’Éternel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché. La logique ici est bien différente : on ne cherche plus à compenser, ni à se racheter, mais à reconnaître ses fautes et recevoir le pardon de Dieu. Nous ne sommes pas habitués à un tel raisonnement. Comme l’explique l’auteur (*) d’un livre sur la grâce, cette faveur offerte sans qu’on la mérite : « Le monde ne comprend pas la grâce. Les gens en font rarement l’expérience. »
(*) Richard Blackaby, La grâce : reçue pour être donnée
La bande annonce du film
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